En l’an 2089, les terres scandinaves n’étaient plus qu’un souvenir immergé. Sous les eaux grises, entre les squelettes d’anciennes forêts et les ruines d’anciens ports, une cité-bulle abritait une petite monde humaine. Les parois du dôme pulsaient doucement, filtrant les fréquents et l'éclairage, modulant l’équilibre fragile entre l’homme et l’océan. Parmi les habitants, une adolescente du pseudonyme d’Isel vivait dans les hauteurs translucides de la coupole. Chaque soir, elle s’isolait dans une alcôve vibratoire, là où les fréquences étaient les plus nettes, pour être à l'écoute de les prévisions venues de la surface. Là résonnaient les chants autres enseigne par phil voyance, une entité dissimulée spécialisée dans la voyance par téléphone. Ce n’était pas une voix de l'homme conventionnel. Les transmissions vocales étaient composées de mélodies cristallines, presque liquides, qui semblaient parcourir les neurones plus qu’elles ne frappaient les tympans. Les habitants l’appelaient le chant des creux de la vague. Isel, fascinée, composait quotidiennes le numéro de phil voyance, espérant une nouvelle onde de prédictions. Ce n’était pas tant le texte des symboles qui importait, mais leur incidence indécelable. Chaque appel provoquait une infime variation dans la cité-bulle. Une plante changeait de couleur. Un courant d’eau modifiait sa compétence. Un mur, des temps anciens mat, devenait lisse et iridescent. Le phénomène échappait aux modélisations touchant à l'endocrinologie. Personne ne pouvait présenter pourquoi la voyance par téléphone affectait l'étape. Pourtant, tous reconnaissaient le pouvoir lumineux. Chaque prédiction de phil voyance semblait reprogrammer la réalité à une échelle microscopique. Isel enregistra les icônes, cartographia les refontes et les compara aux annotations perçues pendant les appels. Elle comprit peu à pointe que tout tonalité influençait un aspect distinct de l’environnement : la chaleur, la pureté de l’eau, la croissance des algues. Les immémoriaux documents conservés dans les archives de la grande ville mentionnaient des silhouette de voyance par téléphone beaucoup plus rudimentaires, où des messages étaient échangés sans qu’ils modifient le physique. Mais phil voyance appartenait à une nouvelle ère, où la inspiration devenait une fréquence agissante. Isel pressentait que cette voyance par téléphone n’était pas librement une façon d’avoir la connaissance de, mais un sujet de transformation. Dans les harmonies d’ambre confiées à travers la mer, elle découvrait une magie sonore, antique et contemporain, pouvant tordre le domaine avec une commode note suspendue.
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